Côme PasquerDe nuit en nuit, le croissant de la lune prend de la brioche. [Claude Schnerb]
Age et date de naissance : T'as bientôt 29 ans. T'approche doucement de la trentaine et de la grosse fête dont tu rêves pour célébrer le changement de dizaine. T'es né le 28 Février 1994. T'es un gros Poisson capable de nager dans toutes les eaux, troubles ou calmes, tu t'adaptes. Origines et nationalité : De part ta mère, le sang afro-américain coule dans tes veines et tu comptes bien continuer à connaitre ton Histoire. Pour autant, t'es né et a grandit en France, avec une cuillère en or massif. T'es français, bien plus qu'on ne veut l'accepter. Ca emmerde certain.es gens, tu t'en branles franchement. Occupation : Cela peut en surprendre bon nombre, vu ton mode de Vie, mais tu es libraire à Gibert Joseph, dans le quartier Latin. T'y es depuis tes 23 ans. C'est ton refuge, là où t'es le plus sérieux et professionnel avant tout. Situation amoureuse : Vraiment les délires de couple, c'est pas ton truc. Ca t'emmerde profondément. C'est conventionnel, c'est une prison, ça t'intéresse pas. Elle n'est pas née la nana qui va te ranger. Enfin, tu crois. Parce que bon, y'a un prénom à ne jamais citer. Pronoms et identité de genre : Tu te considères comme un homme cisgenre, utilisant les pronoms masculins. Orientation sexuelle : Malgré ton éducation stricte, t'as claqué la porte à l'hétéronormativité. Clairement, t'es pas du genre à te priver. Tu te vois comme bisexuel, mais les femmes seront toujours ta faiblesse. La gente masculine, sera toujours l'exception, un homme avec une sacrée âme peut t'attraper dans ses filets. Traits de caractère : On ne va pas se mentir, t'es l'archétype du connard. T'impose un mur quand t'es pas décidé à ce qu'on t'approche. Tu te montres le plus froid possible et ça peut en dégouter plus d'un.e. Oui on devient pas pote avec toi aussi aisément. Ton amitié est précieuse. Tu sais la jouer stratégique voire calculateur pour parvenir à tes fins. Il faut que ça roule comme toi tu le décides. La notion de compromis est totalement assimilée au boulot ; en dehors, l'oreille ne l'entend pas toujours. T'es explosif. La vie tu la fumes par les deux bouts. Tu fonces quand tu es certain de toi. T'as le charisme qui suit. T'entres dans une pièce, on doit le savoir. T'as un morceau de modestie logé quelque part mais c'est pas ce qui prime. T'as l'apparence, les bonnes manières et l'éloquence en guise d'armes. Le charme est une seconde peau. Tu sais lâcher le dos' quand on te dit non, tout comme te résister est une noble mission à tes yeux. Malgré tout, tu demeures sensible quand on sait effleurer ton âme. T'es loyal, possiblement trop. Un brin attachiant et clairement grossier. Ta gueule tu sais l'ouvrir quand ça te plait pas. T'es volcanique, on t'aime ou on te déteste, tant que restes dans les pensées, t'as tout gagné. Tu sais te montrer affectueux et serviable avec les gens qui comptent pour toi. Tu donnerais ta Vie pour elleux. à Paris depuis : Toujours. T'as déjà pas mal voyagé. Souvent pour aller voir ta mère vivant au Sénégal, tu la rejoins chaque été. Mais tu ne restes jamais bien loin de la ville des Lumières. C'est ton terrain de jeux et tu ne veux pas louper tou.tes les players des environs. Groupe : MARCHE NOCTURNE. Tu veux froisser des draps sans te soucier d'un lendemain. Célébrité : Keith Powers
MAGNOLIAS FOREVER
01 T'es l'ainé d'une famille de quatre adelphes. T'es issu du premier mariage entre ton père et ta mère. Mais la pression sociale que vivait ta mère notamment à cause de sa couleur de peau dans un monde de culs serrés, on ne va pas se mentir, a fait qu'elle a mis les voiles. Tu en as longtemps voulu à ton père, de ne pas avoir su protéger ta mère. Même si cette dernière a refait sa vie, et tu as une petite sœur de son côté, que tu aimes tellement. Ton père s'est remarié, tu vois plus une union de connivence mais t'as cessé de faire la guerre à ta belle-mère. T'as deux petits frère que tu chéris fort. Tes adelphes sont le sang de la veine. T'es proche de ta mère, qui tente de jouer les médiatrices avec ton père. La fracture s'est faite à tes dix-huit ans et tu ne le digères toujours pas. Y'a du mieux, parce qu'il faut bien taper le smile sur les photos officielles.
02 T'es un des héritiers de la famille Pasquier. Oui, la fameuse brioche sur toutes les tables des ménagères. T'as vécu avec une cuillère en or massif. On t'a inculqué une éducation de grand bourgeois. Se tenir droit, avec de bonnes manières et surtout sauvé les apparences. On peut faire de la merde mais faut pas que ce soit public. On peut voir ta tête dans des photos de presse avec toute ta famille. En soit, t'es pas du tout à plaindre. T'es un putain de privilégié, même quand tu t'es fait jeter de la baraque.
03 T'as fait dans le cliché du gosse de riche rebelle, qui parfois en avait marre d'être le seul de couleur, comme tu entends souvent dire, dans les repas guindés et d'un ennui que même la mort viendrait pas y mettre les pieds. Au début, tu disais rien. Tu voulais pas faire de vagues. De la bouffe gratuite, des gorgées de champage pris à la volée. De la sape de luxe. T'étais dans un univers mondain. Ecole privé, éducation de roi, les cadeaux en montagne. Clairement pas à plaindre. Puis t'a grandi. Capté des mots à ton sujet qui n'avait rien de mignon. Ca t'a piqué, surtout quand on évoque ta mère. T'acceptes pas qu'on la critique. T'accepte plus cette hypocrisie. Alors t'as enchainé des merdes. Mais attention, de riches. Vol de voiture, d'argent, drogues et alcools, faire la une dans les journaux. Sweet boy se mue en Bad. Et tes parents, ça les fait suer. Même si tu arrivais à t'ouvrir à ta mère, il n'en était rien avec ton père. Fallait durcir à ses yeux. Ah ça, tu savais faire dans le froc. Puis ta dernière lubie a été de foutre en l'air tes études. Ca servait à rien pour toi, se lever pour quoi au juste ? T'es héritier d'une brioche, l'avenir était tracé. Ton père n'a pas rigolé à l'échec du bac. Il t'a mis dehors purement et simplement. Il t'a dit : quand tu auras le cerveau remplis, on rediscutera de ta réintégration. Tu lui as fait un doigt, t'as pris ton sac et t'as dit adieu.
04 Tu pensais que ton père allait bouder un ou deux mois. Mais quand t'as compris qu'il allait camper sur ses positions jusqu'à que tu changes vraiment, t'as perdu le sourire. T'as 18 piges. T'as pas le bac. T'as jamais bossé de ta Vie. Il n'était pas question que tes potes l'apprennent. T'as fait semblant pendant un an alors que tu pouvais dormir dehors ou chez d'autres. Ton égo en a pris un coup. Mais à bien y réfléchir, ça t'a fait grandir. Ca été dur de tout perdre, ton fric, tes facilités, tes nounous. T'as découvert la Vie des mortels, boring af. T'as commencé à enchainer les boulots, à participer à des soirées malsaines tellement t'étais perdu. Sex, drugs, vodka était ton quotidien.
05 Il t'a fallu deux ans de débauche et quelques semaines à l'hôpital pour comprendre que tu ne pouvais pas te détruire autant. Tu ne regrettes rien de cette époque. Tu sais parfaitement qu'il fallait que tu y passes. Que tu piges par toi-même. T'es comme ça, si tu ne l'as pas décidé, tu ne feras rien. Alors durant tes semaines de convalescence après une vilaine chute du premier étage, durant une soirée alcoolisé, t'as pu faire la liste de tes objectifs. C'est comme ça que tu as décidé de repasser ton bac en candidat libre, pas questions de mettre un pied dans un lycée et de te trouver une voie professionnelle.
06 T'as rien dit à tes parents. Tu ne parlais plus à ton père. T'as pris volontairement tes distances avec ta mère. Tu voulais remonter la pente dans le silence. Trimer chaque jour, sans leur en parler. Il n'y avait que toi et ton reflet dans le miroir qui voyaient à quel point tu te donnais pour y parvenir. T'as réalisé que tu avais des lacunes. T'as négocié pour avoir un.e tuteur.ice. Ca t'a fait bizarre mais il fallait bien te donner les moyens. Une fois ton bac en poche, t'as fini par faire diverses missions dans différents corps de métier, tu t'es mangé des portes mais tu n'as jamais abandonné.
07 C'est à force de persévérance, et la magie du réseautage que tu as pu obtenir une alternance chez Gibert Joseph. T'as eu du mal à y croire. T'as vu une pub sur un arrêt de bus au sujet des métiers du livre, tu t'es lancé. T'as fait beaucoup de librairies, mais tu visais une grande comme cette enseigne. Tu t'es pas fait prier pour signer le contrat. Tu savais pas du tout dans quel métier tu t'engageais concrètement mais tu t'en fous les défis sont ton leitmotiv. Tu n'as pu cacher ta réussite et t'as osé recontacté ta mère et tes adelphes surtout le second frère. Tu t'es excusé mainte fois, passant sous silence ta déchéance mais insistant sur le fait que tu t'étais repris en main.
08 C'est comme ça que tu as rencontré tes potes qui composeront ta coloc. Certain.es sont parti.es et d'autres les ont remplacé.es dont ton frère venu plus tard mais le noyau dur reste toujours aussi soudé. Tu vis toujours au même endroit depuis. Alternant vivant à Paris, tu savais que les prix étaient exorbitants. C'est ainsi que tu as posté une annonce, et tu as trouvé preneur. Cinq personnes qui sont tout pour toi, même si quelqu'un.es ne vivent plus avec toi actuellement. Tu ne saurais plus vivre tout seul, c'est trop d'énergie.
09 T'as eu une histoire d'amour, si on peut dire. Elle t'a fracassé la tête. Toi qui passe ton temps à courir après les jupons. Tu t'es longuement accroché aux siens. T'as pas compris. Une belle connerie vu comme ça s'est terminé. Et encore, y'aura jamais vraiment de point final. Le prénom s'est étiolé mais il est toujours bien placé dans le cœur. T'as kiffé ta relation avec elle, c'est ça le pire. Des projets, des idées, des conneries sur l'Amour. Y'a eu l'écart, d'un soir, une merde sans nom et regrettable. Des mots tranchants, de passionnantes engueulades. Y'a cet incompatible vous qui ne fait que roder dans les entourages. Ca te fait chier. Elle te saoule cette nana, parce qu'elle quitte pas ton crane alors que vraiment, tu sais que toi et elle, c'est comme l'huile et l'eau, ça se mélange pas très bien. Une part de toi, persiste à prouver le contraire .. le temps de quelques heures. Après la musique du connard reprend son cours. Elle sans toi est inconcevable, autant qu'elle avec toi est imprudent.
10 T'adore dessiner, ça te vide la tête. Tu griffonnes partout, dès qu'une surface est à portée de mine. T'as pas le permis, c'est inutile. Mais t'envisage de passer celui pour la moto et te barrer loin durant les weekends. T'es pas très fan des animaux, c'est comme les mômes, c'est une trop grosse responsabilité pour toi. Pourtant, y'a toujours un chat qui traine à la coloc. Tu détestes le jaune, parce quand tu as annoncé ton infidélité, c'est ce que tu portais, oui c'est moche comme façon de faire. T'as repris contact avec ton père et ta belle-mère depuis, c'est cordial. T'as osé t'intéresser davantage à ce qu'il se passait du côté de l'entreprise Pasquier, histoire de faire plaisir au daron. Tu te déplaces souvent en skate. T'as des tatouages minimalistes qui ne se voient que quand t'es à poil. Tu raffoles des pâtisseries, t'as toujours de la bouffe avec toi, mais tu sais pas cuisiner. Tu voudrais jouer d'un instrument. Tu fais beaucoup de sport pour entretenir ton corps et ton mental. T'aimes te poser sur le toit de l'immeuble pour siffler une bière en fin de semaine, mais jamais tu t'approches du bord. T'adore imposer des rituels à ton entourage. T'es superstitieux. Tu crois aux esprits et ça te fait super peur. Tu te dis que tu te marieras et feras des gosses à la voisine à 40 ans ; paie ton fardeau quand tu présentes ça comme une récompense. T'as pas mal de cicatrices venue de tes bagarres et de ta chute. Depuis, t'as peur du vide et d'être en hauteur. Tu t'imposes qu'un verre d'alcool en soirée et tu refuses de toucher à la drogue à présent. Tu sais que tu peux replonger à tout moment, alors tu tiens tes distances. T'as toujours des capotes sur toi, et tu en déposes devant chaque porte de la coloc toutes les semaines, tu veux pas de chiards sous le toit.
TOI, TOI, MON TOIPseudo : Patate
Âge : Comme Côme.
Pays : Normandie.
Comment as-tu connu Love L'Artère ? Pub Discord
Type de personnage : Pré-lien de
@Thaïs Devraud Crédit de la présentation : monocle
Mot de la fin : La raclette en toute saison !